Le
coching Santé
Senex
sport met à
votre disposition un coach sportif spécialisé
dans les activités physiques adaptées aux
populations sensibles: Personnes
souffrant de
maux de dos, personnes
fragiles ayant subit une maladie ou opérations (anorexie,
cancers prothèses de hanches et genoux), personnes en
surpoids ou en obésité, ...etc
Une multitude
d’activités vous sont proposées
à votre domicile (voir listes des activités).
Chaque activité sera adaptée à votre
niveau, et vous progresserez à votre rythme…tout
en suivant vos objectifs !
Nous fixerons
dans un premier temps un
rendez-vous qui ne vous sera pas facturé afin de faire plus
ample connaissance.
Celui-ci me permettra de vous expliquer plus en détail les
activités et surtout de m’informer sur votre
santé, votre passé sportif, vos objectifs et
attentes de nos séances.
Nous aurons aussi la possibilité d’effectuer des
tests physiques afin de mesurer votre résistance
à l’effort.
Cancers
Surpoids et
obésité
Public fragile
Isolement
Faire
du sport lorsque l'on est en surpoids c'est possible et
compatible!
L’Organisme Mondial de la Santé définit
le surpoids comme un IMC égal ou supérieur
à 25 et l’obésité comme un
IMC égal ou supérieur à 30.
Sur le plan psychologique et social l'obésité
représente une gêne fonctionnelle dans la vie de
tous les jours. Elle crée des difficultés
à l'embauche et de fréquentes mises en
invalidité pour raisons médicales. Elle est
source de discrimination sociale chez l'adulte comme chez l'enfant et
entraîne souvent une dépression.
L’obésité peut aussi faire
apparaître de nombreux troubles associés :
• Le diabète non-insulino dépendant
• Les maladies cardiovasculaires y compris l'hypertension
artérielle
• Les problèmes respiratoires et notamment
l'apnée pendant le sommeil
• Les problèmes rhumatologiques au niveau des
hanches, des genoux et de la colonne vertébrale
• Les problèmes de métabolisme,
notamment des lipides sanguins
• Les anomalies hormonales
• Les calculs de la vésicule biliaire
• les problèmes veineux et de peau
• Les risques plus importants en cas d'opération
chirurgicale
L’obésité est une pathologie
multifactorielle qui résulte d’un
déséquilibre de la balance
énergétique. Les apports (nourritures, alcool)
sont plus importants que les dépenses (activité
physique). Lors de la prise en charge de
l’obésité, il est nécessaire
de réduire les apports, certes, mais également
d’augmenter les dépenses.
En complément d’un suivi nutritionnel et
médical, Senex Sport vous propose donc une prise en charge
permettant d’augmenter vos dépenses physiques au
travers de multiples activités.
Se
bouger contre l'isolement!
Dans notre société actuelle, qui met
plutôt en avant l’individualisme, de nombreuses
personnes sont isolées. Cet isolement peut être
dû à d’autres problèmes
associés comme les addictions ou les maladies mentales
(anorexie par exemple) mais aussi
l’obésité ou le vieillissement.
D’autres facteurs d’origines sociales peuvent aussi
faire naître l’isolement comme la perte
d’un emploi ou le décès d’un
être cher.
La vie est faite de relations : sociales, professionnelles, familiales,
sentimentales... Lorsque l'on manque d'estime de soi, cela peut parfois
compliquer un peu les relations. Le manque d'estime de soi s'accompagne
souvent de timidité, de complexes et d'une
dévalorisation générale de notre image
de nous-mêmes qui rend difficile le contact avec les autres.
L’entrée dans une activité physique peu
permettre à certaines personnes de rompre leur isolement et
de travailler sur leur estime personnelle.
L’activité physique engendre un travail sur
l’image et elle va permettre de reprendre conscience de son
corps. D’autre part, elle va permettre de se
dépasser et de se prouver à soi-même de
quoi on est capable. C’est un premier pas vers la
réinsertion dans la société.
Activité
sportives et public fragile!
Avoir subi une maladie ou une opération importante
n’empêche en aucun cas d’avoir une
activité physique. Celle-ci doit simplement être
adaptée et modérée.
Les personnes souffrant d’un cancer par exemple peuvent
pratiquer des activités de contrôle du corps. Des
études montrent que la pratique
d’activité physique permet de diminuer de 50 % le
risque de rechute et prolonge la durée de vie.
Suite à une opération importante comme la pose de
prothèse de hanche ou de genou il est possible de continuer
une activité physique en prenant certaines
précautions.
Chaque personne peut pratiquer une activité physique quel
que soit son état de santé du moment
qu’un médecin ne lui interdit pas cette pratique.
Karine
raconte comment elle a vaincu l'anorexie:

Anorexique pendant dix ans, la jeune Mancelle est
passée de 26 kilos à 44 kilos. Grâce
à une thérapeute, qui l'a aidée
à retrouver du plaisir dans l'alimentation. Et le sport.
Rencontre
Elle a enfilé survêt' et baskets,
empoigné une paire d'haltères, filé
d'un pas léger sur la pelouse au pied de son immeuble, rue
Bossuet, aux Sablons. Karine Garnier, 31 ans, a la silhouette d'une
sportive filiforme, un regard bleu-vert pétillant de
vitalité. Et pourtant. « Je reviens de
loin. À une époque, je pesais 26 kilos.
» Pour 1,54m...
En invalidité
« J'ai fait de l'anorexie pendant dix ans.
J'ai commencé à en prendre conscience en 2010,
mais sans vraiment l'accepter. Je comprenais qu'il y avait un malaise,
j'entendais les gens autour de moi, mais je n'arrivais pas à
m'en sortir. » Au point de se retrouver,
après des études en stylisme-modélisme
et un job aux Galeries Lafayette, en
invalidité. Côtes cassées, dos en vrac,
moral dans les chaussettes.
Le déclic pour sortir de la maladie ? «
Une thérapeute qui travaille sur les énergies.
Ça a pris du temps, mais elle m'a aidé
à retrouver de la confiance. » Et du
poids. Grâce à l'alimentation. Et
l'activité physique.
Incapable de soulever une bouteille d'eau
Poussée par sa thérapeute, Karine
contacte Manu Desiles, coach sportif. Le jeune homme se souvient de
leur première conversation : « Karine
m'a dit qu'elle ne pouvait même plus soulever une bouteille
d'eau. » La brindille acquiesce : «
J'avais du mal à marcher, à porter mon propre
poids, j'avais les muscles atrophiés. »
Et une ostéoporose plus que précoce.
Celle qui détestait le sport attaque les
premières séances la rage au ventre : «
J'arrivais à peine à lever les
bras. Une fois accroupie, je n'arrivais plus à me relever,
mes jambes tremblaient. »
Face à une telle faiblesse corporelle, Manu Desiles
monte un programme adapté : assouplissements, renforcement
musculaire, mais « tout en douceur »
: « On est parti des bases. D'abord des mouvements
simples, sans les poids et pas trop
répétés. »
Marche nordique et restaurants
Progressivement, la maigrichonne épaissit, prend
des forces. Et prolonge le contrat avec Manu, dont elle loue «
la tolérance » : «
Il est dans le non-jugement. Compréhensif. »
Ensemble, chaque jeudi, le costaud et la fluette s'avalent une
heure et demie de marche nordique : « Quand je
reviens, j'ai super faim », sourit la
végétarienne adepte des médecines
douces, qui avoue son addiction à la marche : «
Si je n'en fais pas, ça me manque.
»
L'ancienne solitaire renfermée, devenue «
une vraie pipelette », se dit aujourd'hui
prête à « intégrer
un groupe pour faire du sport ». Elle
pèse 44 kilos. Parle avec gourmandise de sorties au resto.
Et savoure le « plaisir »
d'avoir réconcilié le corps et l'esprit : «
Je suis une femme épanouie. J'ai repris goût
à la vie. »
Étude
sur le sport adapté

Cliquez ici
pour accéder au plan obésité 2013 du
ministère de la santé
Sujet: La
prévention et les
actions pour lutter contre l'obésité..